Les chirurgiens esthétiques sont de plus en plus sollicités par leurs patients pour des actes esthétiques non invasifs.
Tout d’abord, parce qu’il n’y a pas la crainte de l’ anesthésie générale ni de la rachi anesthésie, et ensuite il n’y a pas de cicatrices. Cela se traduit par un temps de récupération et un retour en société plus rapides. Selon les statistiques récemment publiées par l’American Society of Plastic Surgeons, des procédures minimalement invasives ont augmenté de 6% . Particulièrement cinq procédures étaient à la hausse :
- Il s’agit de l’injection de botox au niveau des rides du front , des rides intersourciliéres et des rides de la patte d’oie . Les médias ont joué un rôle important pour faire connaitre le botox.
- C’est un moyen facile pour aider à réduire rapidement les rides et les sillons creux , tel le sillon nasogenien et les ridules des lèvres. Il aide également à améliorer les contours du visage pommettes et joues.
- Des solutions chimiques sont appliquées sur la peau pour peler sa partie superficielle supprimant ainsi les rides superficielles et provocant la repousse et le rajeunissement la peau.
- Elle cible les poils . Environ quatre-vingt dix pour cent des patients ont une perte des poils permanente après une moyenne de trois à cinq séances.
- Elle dépouille la peau de sa couche supérieure (épiderme) et stimule une nouvelle croissance de la peau.
- La toxine botulique (botox) en hausse de 8%.
- LE FILLING ou comblement des rides , en hausse de 5%
- Peeling chimique – en hausse de 2%
- L’épilation au laser – une hausse de 4%
- La microdermabrasion – en hausse de 8%
Les actes esthétiques non chirurgicaux ne cesseront de se développer grâce à leur cout économique moindre, à l’ absence d’anesthésie , de cicatrices et grâce à la récupération rapide et à l’ absence d’ arrêt de travail.
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